Avec 25 années de carrière au compteur et des singles classés en haut des charts, tAKiDA est devenu une référence en matière de rock dans son pays d’origine, la Suède. Avec The Agony Flame, son neuvième album de rock sombre et accrocheur, le groupe s’associe au label de metal incontournable Napalm Records. Une collaboration qui devrait voir la popularité des Scandinaves exploser : l’occasion idéale de faire connaissance avec tAKiDA via le batteur Kristoffer Söderström !
Bonjour, merci d’avoir pris le temps de répondre aux questions suivantes. Tout d’abord, comment présenteriez-vous le groupe et son son aux nouveaux venus ?
Salut et merci également. Takida existe depuis 25 ans. Nous menons une carrière réussie principalement en Suède depuis de très nombreuses années. Depuis environ 4 à 5 ans, des choses ont réellement commencé à se produire en Allemagne et dans d’autres pays également. Nous jouons du rock avec beaucoup de mélodies et un peu de mélancolie.
Vous êtes sur le point de sortir un tout nouvel album, The Agony Flame (disponible depuis le 9 février – ndlr). Mais avant, vous en avez sorti quelques singles. Premièrement, « The Loneliest Hour ». Que pouvez-vous dire de cette chanson et de sa réception ? Il parait que ce titre a eu beaucoup de succès !
C’est une chanson dont nous avions très tôt eu l’impression qu’elle serait notre premier single. Elle est assez particulière d’une certaine manière mais aussi accrocheuse. Nos fans ont vraiment aimé la chanson, elle s’est donc classée en tête des classements en Allemagne et en Suède et reste très bien placée.
Vous avez également sorti « Third Strike » en single, une chanson très entraînante que j’aime beaucoup.
Merci ! Oui, c’est un morceau accrocheur et puissant.
Pouvez-vous m’en dire plus sur vos clips ? Ils sont très différents mais partagent la même ambiance sombre, image noir et blanc/sépia… Même la lyric video de « Sickening » est sombre.
Oui, tu as raison. La vidéo de « The Lonliest Hour » a en quelque sorte donné le ton aux autres vidéos. L’obscurité amplifie les paroles.
The Agony Flame sera votre neuvième album. Pouvez-vous nous parler de la création de cet album ? Avez-vous travaillé différemment pour cet album, en termes d’écriture et de production ?
Nous n’avons vraiment pas travaillé différemment des autres albums. On se retrouve en studio et on se lance des idées, ou on crée simplement une chanson de toutes pièces en jammant. Je suppose que les étoiles étaient alignées et que nous avons eu un bon déroulement. Nous sommes tellement satisfaits du résultat de cet album.
Comment avez-vous travaillé sur les paroles, vous avez collaboré avec d’autres personnes ? Quels thèmes et émotions explorez-vous ? A quoi fait référence le titre de l’album ?
Puisque notre chanteur Robban est le maître des paroles, je ne peux pas vraiment en dire grand-chose, à part qu’il fait un excellent travail.
The Agony Flame va sortir via Napalm Records, surtout connu comme label de métal. Qu’attendez-vous de cette collaboration ?
Jusqu’à présent, la collaboration a été bonne et ils semblent impatients de sortir cet album. J’y crois.
Quels sont vos projets et projets pour 2024 ?
Nous sommes actuellement en tournée en Suède au moment où nous parlons, que nous appelons le Boxroom Tour et nous faisons également des chansons semi-acoustiques avec beaucoup de temps de discussion. En avril, nous ferons une tournée principalement en Allemagne mais aussi en Suisse et en Autriche. Ce seront à nouveau des shows entièrement rock.
Malgré votre beau succès en Suède et en Allemagne par exemple et votre longue carrière, il vous reste encore à conquérir certains pays, comme la France ! On ne vous connaît toujours pas beaucoup ici. Aimeriez-vous jouer ici ? Une chance de vous voir bientôt ?
Nous voulons vraiment jouer en France bien sûr ! Rien n’est planifié mais je suis sûr que nous y serons dans un avenir pas si lointain.